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Le journal de Léon
9 octobre 2010

Atelier de lecture du 09/10/

Un petit récapitulatif de l’atelier de peinture de jeudi après-midi. Nous étions en comité restreint, cependant M. Papillon a quitté son pointillisme rectiligne pour aborder des tâches d’écriture, Mme Quinery a dessiné et colorié ses personnages fantasques, Mme Patru a travaillé la tenue de ses crayons pour colorier sa feuille et Mme Bordes s’est essayé dans la forme impressionniste. C’était la première fois de sa vie qu’elle dessinait à ce qu’elle nous a dit : Pas mal du tout Mme Bordes !

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Ce matin était effervescent, avec 27 auditeurs pour la suite des mémoires de Marcel Pagnol. On s’est rappelé comment on faisait de la colle avec de la gomme arabique, colle secrétée des fruitiers (M. Drieu) ou bien avec de la farine (Mme Dufour). Puis l’épisode de la mouche collée sur le guéridon a évoqué à Mme Merrien qu’on attrapait les mouches à la main ou avec un ruban de colle accroché au plafond ont répondu Mme Ducaffy & Fossier ou encore avec un globe renversé avec un bassin en couronne rempli de miel comme nous l’a expliqué M. Drieu. Nous avons reconnu que nous n’avions pas beaucoup de pitié pour ces animaux-là, pas plus pour les moustiques d’ailleurs que toute l’assistance déteste.

Nous avons vu que Marcel Pagnol attendait, impatient, les vacances d’été. Mme Bobillier nous a dit que les vacances commençaient au 14 juillet car autrefois les enfants travaillaient dans les cultures et la moisson se faisait sensiblement à cette date.

Un peu plus loin, Pagnol nous parle d’une cigale à qui il lui tarde de mettre la paille au cul. Ceci a entraîné un conciliabule entre Mme Merrien et M. Paineau qu’il a bien fallu raconter au reste du groupe. « Nous aussi, disait Mme Merrien, on en disait des gros mots, mais je ne veux pas que mes enfants entendent ça ». Une rigolade a suivi cette révélation !

Plus loin encore, on a su que Marcel Pagnol avait des espadrilles à corde ce dont s’est souvenu Mme Cances. Mme Merrien nous a dit qu’il n’y en avait pas à Paris et M. Drieu se rappelle que nombre de ses élèves venaient en sabot. Et nous avons terminé sur le rappel de ce que l’on mangeait autrefois ! Mme Tayberk se régalait de chocolat, Mme Cances mangeais de la charcuterie et rarement de la viande car le boucher était loin. Mme Merrien qui demeurait dans le 14ème a conclu en avouant que la viande était rare autrefois !

Puis M. Drieu a conclu notre réunion en récitant deux fables de La Fontaine.

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